Grand Theft Auto : Vice City StoriesGraphismes 16/20Le moteur reste le même que celui de Liberty City Stories, mais vu qu'il y a plus d'éléments à gérer à Vice City (plus de détails, plus de lumières...) le résultat est un poil moins fringant. C'est d'ailleurs contradictoire puisque la citée du vice est bien plus clinquante que celle de la liberté.
Jouabilité 16/20La jouabilité reste globalement similaire à l'épisode précédent avec des cavales folles à travers la ville pour remplir divers petits boulots frauduleux. Vice City Stories instaure cependant un mode Empire qui vous permettra d'asseoir un business dans toute la ville.
Durée de vie 18/20Comme toujours avec un GTA, il y a de quoi manger jusqu'à plus faim. En ne se concentrant que sur les missions principales, il est vrai que vous verrez rapidement la fin, mais dès lors que vous tenterez de réussir toutes les missions secondaires, je vous assure que vous ne lâcherez pas votre PSP de si tôt. Et au cas où vous vous ennuieriez, il y a toujours les modes multi.
Bande son 16/20Back to the 80's ! Les musiques nous renvoient directement à l'époque de Cure, Blondie, Depeche Mode, Kiss, INXS ou Genesis. Ces groupes sont d'ailleurs présents dans les radios du jeu, eux et beaucoup d'autres ! Question doublages, les voix anglaises nous donnent une nouvelle leçon du mal parlé ricain. C'est fleuri, comme on dit.
Scénario 14/20Moins intéressant que d'ordinaire, en raison d'un héros peu charismatique, Vice City Stories vaudra surtout pour son ambiance puisée directement au coeur des années 80. Malheureusement, le côté satirique que l'on connaît habituellement à la série n'est pas aussi présent ici.
Note Générale 15/20GTA poursuit sa percée sur PSP avec un épisode un tout petit moins prenant que le précédent. Vu le support, on pardonnera facilement les quelques lacunes techniques, mais plus difficilement le scénario moins travaillé. Quoi qu'il en soit, avec son gameplay si caractéristique, Vice City Stories fera le bonheur des fans de la série, et les aidera très certainement à patienter encore un an, jusqu'à la prochaine dose.